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Notre histoire

2 sœurs. De la com’. Du web.
De l’expertise. De la bonne humeur.

Notre histoire, portrait des Démêleuses

Bonjour par ici,
nous c'est les Démêleuses !

Je dis nous parce qu’on est 2. Deux sœurs.

On s’appelle Auriane Giraudel (la plus petite mais la plus grande en centimètres) et Marine Giraudel (c’est moi).

Et nous voilà à gauche.

Ou bien croquées par Auriane, qui s’est mise au sketchnoting :

Notre truc à nous, c'est la com' !

La com’ au sens large : la pub, le design, le graphisme, l’édition, le marketing, le webdesign, l’emailing, le print, la stratégie, les réseaux sociaux…

Et la com’ avec un grand C :

  • C comme « C’est notre métier ». Formées, entraînées, rodées, on fait de la com’ depuis longtemps, et on adore ça !
  • C comme « Créativité » parce que sinon rien ne marche.
  • C comme « Confiance » parce que c’est le point de départ de tout beau projet.
  • C comme « Compréhension » parce qu’on a à cœur d’écouter vos projets et d’entendre vos besoins pour pouvoir vous aider de façon précise et juste.
  • C comme « Clarté » le leitmotiv de ce lieu ! Clarifier les choses, faire simple.
  • C comme « Cahier des charges » parce qu’on a l’expérience terrain de gros projets et que l’on sait s’adapter même aux besoins les plus cadrés.
  • C comme « Clients » parce que c’est pour eux que l’on fait ça, et grâce à eux que l’on grandit et que l’on s’épanouit.
  • et puis C comme « Ça suffit ! » parce qu’entre nous, on en a un peu marre de voir partout des gens vendre de la com’ sans trop savoir de quoi ils parlent.

On adore la com’, on se lève pour ça chaque matin.
Des idées qui fusent, des piles de carnets, des débats animés, des projets par milliers…

Et ça fait …10… euh…15 ans que ça dure !

Et notre truc à nous, c'est aussi le web.

Parce que là, on est carrément tombées dedans quand on était petites !

A la maison, on n’a jamais eu de télé. Maman disait que ça abrutissait et qu’on en avait pas besoin pour s’amuser.
Par contre… on a eu très tôt un ordinateur à la maison.

Je me souviens de la première fois où on en a approché un. Je devais avoir 7 ou 8 ans, et Auriane 4. On était en Corse, comme tous les étés c’était le mois de vacances avec mes parents. Et mon père, ingénieur chez Vivendi, devait “être joignable” ou quelque chose comme ça. Il a donc emporté avec lui son ordinateur portable. Enfin portable, la Bête faisait 13 kgs (!).

Au début, on regardait ça de loin, en continuant à jouer aux Lego® ou aux Kapla®. Et puis un jour, Papa nous a montré LE jeu de son ordinateur. Pacman. Vous savez la petite tête qui avale des points dans un labyrinthe, poursuivie par des fantômes ? Avec une musique teeeeeellement stressante.

Cet été-là, on a passé des heures dessus, le feu aux joues, surexcités de battre le score de l’autre ou de dépasser le record de la veille.

Étrangement, Maman semblait bien moins réticente à nous voir jouer avec cette machine qu’à nous acheter une télé, pourtant longtemps réclamée. Il faut dire qu’elle est ingénieur en informatique. Ça a dû jouer, certainement.

Un jour, elle a décidé d’acheter un ordinateur pour la maison. Qui fut d’abord dans leur chambre. Puis dans l’une des nôtres. Chacun avait sa plage horaire pour jouer, mais comme on regardait aussi les autres jouer, on finissait par y passer des heures.

C’était les débuts d’Internet chez les particuliers. Vous savez le “tididididi….diiiiiiiiiiiiiii”. Très vite, on s’en est servi pour tout : les mails sur Caramail puis AOL, les recherches pour les exposés à l’école (finis les mercredis après-midi à la bibliothèque !), les chats IRC sur Voila-Wanadoo pour discuter avec plein de gens que l’on ne connaissait pas…

Bref le web on a grandi avec, et on s’est construites avec.

D’ailleurs à la maison, sur 6, à part mon père, on bosse tous dans le web ! Je vous laisse imaginer les conversations le dimanche midi.

Mais revenons à nos moutons.

La com', ça fait longtemps
qu'on est tombées dedans...

Après…

  • 2 ans de prépa en arts appliqués,
  • 4 ans d’études techniques en communication visuelle et arts graphiques,
  • 3 ans d’études stratégiques en marketing et publicité,
  • 2 ans de formation professionnelle en webdesign et développement web…

…nous voilà donc BAC +11 en cumulé.

Après…

  • des stages en imprimerie, en agence et chez l’annonceur,
  • des jobs d’été en services com,
  • des books créa ficelés aux petits oignons,
  • des projets de fin d’études soutenus devant …

…nous voilà donc « sur le marché ».

Ok et maintenant qu’est-ce qu’on fait ?


On a travaillé en agence pour commencer.
Pour faire nos armes, crayons et stylets.
Dans des petites agences dynamiques et sympas comme Adjectif à Lyon et dans des grandes agences comme Euro-RSCG “parce que ça fait bien sur le CV”.

On a aussi toutes les deux travaillé chez l’annonceur comme chez Veolia (pendant les étés, grâce à Papa) ou chez Stratégies (le magazine, vous connaissez ?).

Notre histoire, travail en agence

Mais l'entrepreneuriat
nous démange déjà.

En 2010, Auriane se lance sur Lyon en tant que freelance webdesigner.

Au même moment, je quitte le Sud de la France pour aller créer sur Paris une startup spécialisée en email marketing. Initialement embauchée pour gérer les projets et le marketing, j’ai fini par co-piloter l’agence pendant près de 3 ans.


Ces premières années d’entrepreneuriat sont très formatrices pour Auriane et moi. Côté compétences techniques, on ajoute de nombreuses flèches dans notre carquois.

Mais on apprend surtout :

  • à ne pas compter nos heures (comprenez à bosser jour et nuit),
  • à mener des projets et gérer des clients,
  • à développer le multitasking, condition sine qua non de l’entrepreneuriat,
  • à gérer une boîte, en d’autres mots, savoir tout faire, être sur tous les fronts, organiser et prioriser.

L'agence Emailfizz,
première boîte commune.

Au fil des mois, je constate que les campagnes email envoyées par nos clients (pourtant de grosses marques) ne sont pas “propres”, pas bien construites, tant dans le design et le contenu que dans le code HTML. Et les performances chutent. Et notre chiffre d’affaires avec.

On en discute beaucoup avec Auriane, qui travaille elle aussi à la création de newsletters pour certains de ses clients.

On s’intéresse de plus près à la délivrabilité, à la construction de campagnes, et on commmence à retoucher les créas emails des marques avant de les envoyer sur nos bases de données.

Les résultats augmentent, les chiffres d’affaires générés par les marques aussi et donc nos commissions également.


Très vite, on propose de
créer une campagne de A à Z, pour essayer.

Tout commence avec Pixmania pour leur offre de Noël puis pour la Saint Valentin. C’est le premier projet mené ensemble, avec Auriane.

Rapidement suivent des collaborations avec :

  • Cofinoga,
  • 3 Suisses,
  • Aramis Auto,
  • Mistergooddeal,
  • Cardif Santé
  • ou encore Axa.

Et puis une campagne de soldes pour La Redoute lance la machine : ils veulent des newsletters chaque semaine.

Cela nous décide à sauter le pas.


On avait les contacts chez les marques, des premiers retours clients très encourageants, une offre de services déjà dessinée.

Pour la partie technique, Auriane était notre femme, prête à tenter l’aventure !

Pendant 6 mois, on a continué à faire tourner nos agences respectives la journée, et on développait notre bébé la nuit.

Mi-2013, on lance donc l’agence Emailfizz.

C’était les débuts du responsive, et on crée alors la première agence spécialisée en conception de campagnes d’email responsive.

Tout était à faire car aucune agence ne proposait ça en France. Aucun concurrent à l’horizon. Super me direz-vous ! Mais en vrai, c’est très compliqué car on ne peut ni s’inspirer ni se comparer.

Il a fallu tout monter :

  • L’offre, très vite déclinée en des offres multiples pour tous les besoins,
  • les plaquettes commerciales,
  • le site web,
  • travailler le discours, les arguments, les tarifs,
  • un livre blanc pour appuyer notre expertise,
  • développer des outils spécifiques,
  • se former aussi vite que les évolutions techniques…
Notre histoire, mission Emailfizz
Notre histoire, zoom mission EmailFizz

Avant, on faisait pour nos clients.

Pendant cette aventure, on a pu travailler sur des projets fous :

  • sur des templates de newsletter pour Pizza Hut, Repetto, Bebloom ou encore Ouibus, que leurs équipes pouvaient ensuite utiliser pour envoyer leurs campagnes,
  • sur des structures de newsletters modulaires pour que toutes les équipes de BNP puissent communiquer en interne, ou pour que Axa puisse communiquer sur toute sa gamme de produits,
  • sur des campagnes mensuelles d’acquisition de nouveaux clients pour des banques comme Cofidis ou Banque Accord, ou pour des assurances comme Axa,
  • sur des newsletters produits hebdomadaires pour des marques comme Toupargel ou Cimalp,
  • sur des campagnes ponctuelles plus techniques avec des animations et des chronomètres compte-à-rebours,
  • sur des audits emailing et délivrabilité avec des marques comme Blancheporte ou Cofidis.


Mais au fil de ces années passées à réaliser des projets pour nos clients, on a vu émerger une
double frustration :

  • frustration de notre côté d’abord, de devoir toujours bosser dans l’urgence pour tenir les plannings, sans pouvoir prendre le temps d’expliquer la stratégie à nos clients,
  • frustration du côté de nos clients ensuite, qui se passionnaient pour les sujets travaillés avec nous durant la collaboration mais qui restaient sur leur faim et se retrouvaient un peu démunis à la fin de la mission.

Il faut dire qu’on a tellement bossé dans la com que l’on n’arrive jamais avec des petites solutions ahah !

Et puis, entre nous, on aime le travail bien fait.

Si on était en train de préparer un entretien d’embauche, on noterait ça tout en haut de la colonne “qualités” : perfectionnistes.

Chaque besoin est singulier, chaque projet est différent, donc nous on ne sait pas faire autrement.

Du sur-mesure. Du cousu main. De la com’ haute couture.

A chaque projet, on donne le maximum.

Mais face au client, ça donnait parfois l’effet d’un professeur un peu fou, réalisant un exercice pour un élève très motivé mais débutant dans le domaine.


La solution ? FORMER nos clients !

C’est pour ça qu’aujourd’hui,
on apprend à nos clients
à faire de la com’.

Pourquoi ? Parce que nous voulons VRAIMENT aider, VOUS AIDER.

Vous connaissez sans doute le proverbe : “Quand quelqu’un a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que lui donner du poisson”.

C’est vrai finalement, si nous voulons vraiment vous aider, nous devons vous apprendre à faire par vous-même, et non pas faire à votre place.

Face au web, et à l’étendue des possibles, nous savons qu’un non-initié peut se sentir dérouté, perdu, voire même un peu inquiet.

Nous voulons faciliter votre lancement sur le web et vous accompagner dans le développement de votre activité.

Pour que vous puissiez être visible, mémorable, trouver des clients rapidement et vivre heureux de votre métier.

Nous souhaitons vous partager ce que nous savons. Vous faire gagner du temps et de l’énergie en vous évitant les erreurs que nous avons commises.

Nous voulons vous accompagner et vous aider à faire grandir vos projets.

C’est pour ça que nous avons créé Les Démêleuses :

  • Pour que vous n’ayez aucun noeud dans votre com’ ou dans votre marketing sur le web,
  • Et que vous puissiez vous concentrer sur votre métier,
  • Vous simplifier la vie quoi !